Ghost in the Shell 2 – Innocence (2004, Japon)

Le problème avec Oshii, c’est qu’il met fin à son sujet quand il fait un film. On ne peut plus ensuite qu’illustrer, bavarder (comme Matrix après Avalon). Alors comment faire un second opus du légendaire Ghost in the Shell? Simplement en se donnant 99 minutes pour expliquer et commenter les idées du premier épisode, sur fond de visions fantastiques (de l’animation classique en premier plan et des univers numériques d’une finesse inouïe en second plan). Accrochez vos ceintures, le niveau du commentaire nécessite un peu de préparation si l’on ne veut pas rester sur place.
Auteur : Oshii Mamoru, Japon, 2004
♥♥ Très bien, à conseiller

Avalon (2002, Japon)

Couverture Grandiose. l’inspirateur de Matrix, mais sans la parure d’effets spéciaux pour couvrir les idées. Une photo digne du réalisme des années 30. Une thématique entre le jeu (vidéo, l’accoutumance mais aussi la schizophrénie), la réalité d’un monde en perdition, l’importance d’un combat désespéré pour une sorte de liberté, très humaine et donc très hypothétique et parfois douteuse (est-ce la liberté ou la folie?).
Auteur : Oshii Mamoru, Japon, 2002
♥♥♥ Excellent

Ghost in the Shell (1995, Japon)

Couverture Un film précédé par sa réputation. Elle est justifiée: en 1995, Oshii prévient des risques d’utilisation des technologies comme moyen d’espionnage d’état, des dérives du pouvoir (humain) qui en résulte car peu maîtrisable. Il annonce aussi l’importance de la diversité, dans le règne animal, mais aussi technologique. Le trait est aussi assez intéressant, classique dans les premiers plans, mais à l’éclairage travaillé, à la superposition « réel/ synthèse) assez nouvelle pour l’époque. La musique de Kenji Kawai est, elle, envoûtante.
Auteur : Oshii Mamoru, Japon, 1995
♥♥♥ Excellent

Avalon (2002, Japon)

Couverture Grandiose. l’inspirateur de Matrix, mais sans la parure d’effets spéciaux pour couvrir les idées. Une photo digne du réalisme des années 30. Une thématique entre le jeu (vidéo, l’accoutumance mais aussi la schizophrénie), la réalité d’un monde en perdition, l’importance d’un combat désespéré pour une sorte de liberté, très humaine et donc très hypothétique et parfois douteuse (est-ce la liberté ou la folie?).
Auteur : Oshii Mamoru, Japon, 2002
♥♥♥ Excellent