Real Genius (1985, USA)

Aucun intérêt, film d’ado des années 80 avec un Val Kilmer amusant en ado. brillant revenu de tout.
Auteur : Coolidge Martha, USA, 1985
Sans aucun intérêt

Volcano (1997, USA)

Couverture Il faut reconnaître que l’idée de départ, un volcan en plein Los Angeles, peut paraître osée. Mais Tommy Lee Jones et Anne Heche sont les bonnes âmes qui savent comment empêcher le désastre, dans tous les sens du terme car ils rendent ce film crédible par leur énergie débordante et un bon rythme d’ensemble.
Auteur : Jackson Mick, USA, 1997
♥ Agréable, sans plus

Le Chacal (The Jackal) (1997, USA)

Couverture Un tueur que quasiment personne n’a eu l’occasion de voir, un règlement de compte entre mafia Russe et FBI, un ancien de l’IRA amoureux d’une ancienne de l’ETA réunis avec le FBI contre le tueur… C’est pour le moins pittoresque, et ça peine à passer le téléfilm. Bruce Willis s’ennuit, Richard Gere essaie de draguer.
Auteur : Caton-Jones Michael , USA, 1997
Médiocre

The Terminal (2004, USA)

Spielberg se perd dans un cinéma sans aucune cohérence. La bonne prestation (toujours un peu trop) de Tom Hanks ne fait pas oublier l’absurdité totale de cette histoire qui n’est même plus une critique tellement c’est pitoyablement bête.
Auteur : Spielberg Steven, USA, 2004
Médiocre

Cavalier seul (2001, France)

couverture, sur Amazon Si l’on pensait que l’horreur avait des limites, il suffit de plonger avec Iris et Katz dans ce Cavalier seul. Stéphanie Benson sait comme personne écrire la terreur et l’insoutenable sans en faire du voyeurisme. Mais comment peut-elle vivre et imaginer ces histoires? Où est-ce simplement que son regard est plus vif que le notre?
Auteur : Benson Stéphanie, France, 2001
♥♥♥ Excellent

Matrix Reloaded (2003, USA)

Couverture On passe à la vitesse supérieure par rapport au premier opus. Plus d’effets spéciaux, plus d’action, budget oblige vu le succès quasi-garanti. Bien sûr, comme souvent dans un numéro 2 qui prévoit déjà un numéro 3, on subit le désagréable « to be continued » de rigueur. Le morcellement de l’action autour des scènes d’action, qui vont sans doute devenir des références à copier, fait perdre de la continuité et du rythme au film, mais l’inventivité reste de rigueur et les frères Wachowski ne se contentent pas de se répéter, ils innovent encore dans les procédés et les figures de style.
Auteur : Wachowski Andy et Larry , USA, 2003
♥♥ Très bien, à conseiller

Mémoire d’un saccage (2004, Argentine)

Un grand moment de documentaire, énervé et documenté, sur les hommes et les institutions qui ont anéanti l’Argentine. On pensais que la dictature était le pire des maux pour un peuple, le FMI et ses amies les multinationales se sont essayées à faire pire, et ne sont pas loin de convaincre qu’ils sont aussi dangereux et meurtrier. Seulement avec eux, c’est pour le long terme et ça a tout l’air d’être planétaire.
Auteur : Solanas Fernando E., Argentine, 2004
♥♥ Très bien, à conseiller

Heat (1995, USA)

Tout est là pour un grand policier: Pacino et De Niro en ennemis irréductibles mais se resectant, un grand coup à monter, une équipe de choc. Mais Michael Mann n’est pas John Woo et il s’enlise dans une présentation bien trop longue (bien que l’idée d’un premier coup pour présenter l’équipe soit originale) et un mouvement trop lent (d’où la durée démesurée du film).
Auteur : Mann Michael, USA, 1995
♥ Agréable, sans plus

Comme une image (2004, France)

Encore une histoire de la quarantenaires, dans laquelle on se plonge comme dans un bon moment avec des amis et leurs parents, à la campagne.
Auteur : Jaoui Agnès, France, 2004
♥ Agréable, sans plus

The Dreamers (2003, USA)

Dommage que Bertolucci n’ait pas été au bout de son sujet, ne se soit pas laissé allé comme ses personnages à un peu de folie et de nouveauté. La caméra est trop contrôlée, tout est trop parfait dans un style inadapté à ce qu’il filme, comme si le film et la caméra avaient des vies séparées. Ces trois jeunes gens qui vivent un moment à part au moment de mai 68 méritaient mieux.
Auteur : Bertolucci Bernardo, USA, 2003
♥ Agréable, sans plus

Contact (1997, USA)

Couverture Surprenant petit film qui s’essaie à quelques sujets peu évidents. Une scientifique cherche un signal d’une vie dans l’univers avec des antennes toujours plus grandes, jusqu’au jour où elle reçoit enfin ce signal. La première moitié du film pourrait être plus rapide, mais la seconde prend le vent et les questions s’accumulent. La science montre-t-elle l’absence de Dieu? La foi, en Dieu mais aussi en un espoir, un amour a-t-elle un sens scientifique? La vérité, à un certain moment a-t-elle un prix?
Auteur : Zemeckis Robert, USA, 1997
♥♥ Très bien, à conseiller

Collateral (2004, USA)

Un tueur traverse la ville en taxi pour exécuter 5 contrats. Le taxi n’est pas d’accord mais le tueur, Tom Cruise, est bien décidé à continuer, à être le tueur solitaire et parfait qu’il pense être. Mais l’amour est plus fort que l’arme la plus perfectionnée. Pas génial et trop agité pour être vraiment un film d’action plus qu’une tentative de marketing du Tom Cruise qui se veut un grand personnage.
Auteur : Mann Michael, USA, 2004
♥ Agréable, sans plus

Killing Zoe (1994, USA)

Drogue, braquage et amitié. On sent des grands moments possibles, mais rarement réalisés.Jean-Hugues Anglade fatigué, héroïne trop présente et inutilement vantée, trop de défauts qu’une adorable Julie Delpy ne peut pas sauver avec un rôle secondaire.
Auteur : Avary Roger, USA, 1994
♥ Agréable, sans plus

The Man Who Shot Liberty Valance (1962, USA)

Couverture Bien sûr le film n’est pas tout jeune, plus lent que les westerns des années 70, mais quelle interprétation, simple et sans détours. Un juriste débarque dans une ville de l’Ouest où la loi est faite par le pistolet et le sherif est le plus peureux de la ville. La violence peut-elle suplanter les idéaux d’une démocratie? C’est ce que James Stewart et John Wayne vont nous montrer.
Auteur : Ford John, USA, 1962
♥♥ Très bien, à conseiller

Blown Away (1994, USA)

Un ancien membre de l’IRA est devenu un policier américain, à Boston, dans la Bomb Squad. Un de ses vieux complices s’évade et décide de venger l’honneur trahi, à coup de bombes particulièrement originales. Un thriller sur le vieux thème de la bombe à désamorcer, mais qui joue sur la multiplication. Pas mal sans plus d’originalité. Les acteurs sont moyens.
Auteur : Hopkins Stephen, USA, 1994
♥ Agréable, sans plus

But I’m a Cheerleader (1999, USA)

Couverture Une jeune pom-pom girl est envoyée dans un centre de rééducation car ses parents pensent qu’elle est atteinte d’un terrible mal: elle serait lesbienne (en effet, elle a des photos de filles, trouve les baisers de son boyfriend baveux;-). Le film montre le ridicule de ces préjugés et l’importance de la liberté de choix, et la liberté d’être tout simplement. On notera la présence de Clea Duvall, RuPaul et la musique plutôt agréable (dont une reprise de Gainsbourg par April March).
Auteur : Babbit Jamie, USA, 1999
♥♥ Très bien, à conseiller

The Bourne Supremacy (2004, USA)

Couverture Jason Bourne essaie de se refaire une vie en Inde. Il ne va pas apprécier qu’on essaie de l’atteindre, et quand un tueur amnésique retrouve les gestes du métier, on ne sait plus qui est la proie. Matt Damon s’en tire plutôt mieux que d’habitude, même si la réalisation est un peu trop excitée, la caméra essayant de rendre les scènes plus actives par une véritable hystérie, par ailleurs inutile car l’action est bien là, jouée plutôt bien par les acteurs.
Auteur : Greengrass Paul, USA, 2004
♥♥ Très bien, à conseiller

Ma femme est un gangster (2001, Corée)

Film étonnant car le personnage principal est attachant, mais l’humour Coréen, largement puéril, gâche tout.
Auteur : Cho Jin-gyu, Corée, 2001
Médiocre

Patte de velours (1993, France)

couverture, sur Amazon Padovani au cœur d’un complot très politique. Un livre en demi-teinte, plein de regrets et de souvenirs de l’ancienne équipe de Padovani.
Auteur : H. Fajardie Frédéric, France, 1993
♥♥ Très bien, à conseiller

Carnets de voyage (2004, Brésil)

Magnigique photo, pour un voyage très littéraire (on sent le respect presque excessif du texte). Mais peut-on reprocher ce respect, car en dehors de la photo, l’intérêt du film réside dans le personnage, historique, et sa narration d’un voyage de jeunesse.
Auteur : Salles Walter, Brésil, 2004
♥♥ Très bien, à conseiller

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